| LE NOUVEAU FORUM DES CHTIS!!!
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| | DESSAUVAGES ROBERT (rdessauv) | |
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Auteur | Message |
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shyman createur
Nombre de messages : 387 Age : 43 Localisation : hesdin Date d'inscription : 13/06/2007
| Sujet: Re: DESSAUVAGES ROBERT (rdessauv) Sam 21 Juil - 15:17 | |
| L'méchoui de ramdam
J'm'in va ichi vous conter L'méchoui de'm' vie Cha 's'passo d'in les années 68 J'a pos bin compté
Eunne Fos d'pluque tout Cha Ché bin vrai Y' a pos d'autes vérités Chu m'vie j'le dit
Cha ché passé ché mamie Un bistrot d'quarti D'l'marlire Al pétanque Ou y'avos qu'des amis S'eu du quarti
Mamie l' propriéti Edmond l' serveu Et l' qien Grinn Un bergi allemand
Qui n'avos de féroce que l'façon Qu' y' avos d'attaqui ché boites de Canigou Un vrai danger Pou l'porte monnaie Ste décors etint in place in peu y'allé
Donc v'là ti pos que pou faire Intré des douppes d'in l'caisse Des economeu infin D'in l'caisse de s'eu Qui allote au bistrot mettes des douppes d'in l'eu caisse A économie et qui depinsote pluque A boire que les douppes économisé
Ont eu Eunne idée Faire un pierrot pou faire Intrer encor pluque de sous D'in leu poches Chéto a sti qui aros eu eunne Idée plus mâche que l'autes
Y cachotte tant et si ben Qu'au soir A force d avoir So Z'etaute tous beurré Comme des p'tit lu.
Q'cho qui peu ben sortir d'un bistro Rin d'bon Au mitan d' tout Cha L'idée d' faire un pierrot original est sortie V'là l' drame Z' ont demandé l'avis de Ramdam
Qui aussitôt a raconti l'méchoui d'sin pays Lequel j'in sait n'in acore aujourdu Y'etos bin arabe Y'avos l' teint l'couleur Mais y'etos comme mi Né à l'marliere Ché Cha plus fort.
Du berbère comme nous autes Y connaisso que l'ingache de l'marliere Seul sable qui avos vu ché sti du bac a sable De l'maternelle 300 mètres plus loin N'in trop sur de li V'là ti pos qui propose un méchoui.
Tche idée lumineuse Dite la a tous ces assoiffés Auchitot dit Auchitot adopté Fallot bin allé coucher Resto pluque qu'a aquaté l'agnelé.
Bin sur vivant pou économisé 8 jours qu'elle a trainé d'in l'atelier Ste bête Personne pou l égorger Avotent tous dessaouler Z'ont du l'échanger Contre un plus petit déjà depeusser.
Resto pluque qu'a préparé l'binquet Cha ché passe un sam'di midi V'là trinché faite Schu 20 cm De profondeur in douceur Et chu 2 mètres de longueur.
Auchitot fini v'là l'agnelé imbrochi Déjà intrint de tourné D'in s'in jus Au d'ssus du Fu Déjà qui faisot qu' Cho Chéto l'été.
Deux a trois heures intrint de mijoter Y fesot soif Pos pou li mais pou ché deux idiots Qui tournotent a l'main L' brochet Edmond braffe garçhon va quiere eunne caisse d'bires.
La Fallot pas D'braves gars mais qui Avotent un fort penchant Po pou l'méchoui mais pou être éméchii 24 bires Chéto juste pou ché deux zouaves De qu' Cho épongé leu sueur Au fur a m'ezure que l' caisse s'vido L'agneau deballo D'in ces braises Et au pluque qui s'approchote du Fu Au pluque Y z'avotent So Ché deux ballots
Trois caisses plus tard Z'etaute Tous deux pleins comme eunne basse L'agnelé n'arreto pos d' bouler dehors d'sin piquet D'Bo qui avos fini par prindre Fu Cha n'a pos arreti ché deux lascars Z'ont arrachis aussitôt L'piquet in fer qui servo a pindre l'linge au gardin S'in l'nettoyi ont imbrochi L'infâme rôti.
Huit heures du soir L'rôti y'etos pos cuit Les clients infuis Mamie qui n avos pos aché d' ces deux Ys pou braire Resto su s'in tchu a terre.
L'morale d'l'histoire y'en a pos Même Grinn l'clébard Apres 8 jours a minger du mouton Y frisot Dégouté Voulot plus minger même s'pâtée S vaurien d'quien y'a fini végétarien.
Rdessauvages©30 mai 2006 | |
| | | shyman createur
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| Sujet: Re: DESSAUVAGES ROBERT (rdessauv) Sam 21 Juil - 15:18 | |
| Condette 2006
Nous y voila toi ! En quête de moi ? Moi pour une fois à l'écoute de toi Face à face Dans ce silence du parc.
Silence, colère, haine de moi pour toi !! Je dis. Amour patience réconfort De toi Ont me dit ! Nous sommes la Face à face.
Le silence est le silence Cela ne tiens qu'a un fil. Phil me murmure accepte ! Que l'ont puisse t'aimer Laisse-toi aimer. Je suis trop blessé.
Accepte d 'être aimer ? Mais de qui ? A part bibie ! Ce ne sont que des mots Je n'ai que des maux Tu n'as pas Phil le ton haut Je n'ai que le silence De mes maux.
Brave Gisèle Ta joie, ta foi Instantanée ton amitié de moi Me rappelle ma peine De celle que j'aime Qui a ton âge En amour de moi Est enfermée A tout jamais.
Petite Cécile Qui a moi c'est confié Avec qui j'ai commencé à me libérer Me dit merci De cet échange Tu me confie Je suis comme toi une révoltée. !
Sais-tu que ma nièce qui comme toi Porte ton prénom Est ma désespérance Tu m'as dit tes mots Je t'ais confié mes maux Mes maux sortent Merci De ce don de ton Espérance.
Rachid !! Tu t'es écarté, isolé Tes souffrances tu les as exprimées Souffrances du corps De l'âme Que tu puis je faire pour toi ? Comment t'approcher ? Trouver l'envie en toi De me parler. Moi de m'approcher de toi. !
Cela semble idiot Je n'ai comme toi que des maux Malgré nos apparences Nous sommes en souffrances Je sais partager Je veillerais que tu es toujours à fumer Il nous fallait Cheminer chacun de son coté Nous retrouver pour fumer Nous avouer que nous étions déjà Depuis longtemps en amitié
Tu la exprimer Dans ce rond Au parc par deux fois Tu as dit le bonheur que J'y sois Par deux fois tu as atteint mon cœur.
J'ai reçu de tous, J'ai reçu de toi. J'ai donné à tous, J'ai encore reçu de toi. J'ai accepté que tu sois la Au plus profond de moi La d'où partent mes maux Mes mots de haine de toi Trois jours à réfléchir A fumer Désolé Marie Paule ! Cela m'a été nécessaire Ne crois pas en un irrespect de toi Partout sans cesse Il faut que cela cesse
De l'amour des hommes ! J'en ais Même si je ne le dis pas Ont me dit froid parfois Tendre d'autres fois Ne m'a t'on pas dit Tendre comme un chamallo Dans un bloc de béton Je dois m'armer pour me défendre De moi. De toi !
J'ai nié, pesté, ragé, dénoncé, insulté Vomit ce dieu dont vous me parler Ecrit contre lui Si je n'avais pas fait cela S'il n'avait pas accepté Ce don de moi Ce dieu tant décrié Je n'aurais pas résisté !
Je ne ferais plus rien contre ce corps Tu ne l'a pas accepté Ce n'était pas moi Coquin de toi ! Me tuer au pistolet tu n'as pas accepté Tu m'as fait donner un fusil Et de quoi le charger Par cette tante qui me disais m'aimer En lui faisant dire Tu es cet enfant que je n ais pas Cela deux jours après. Coquin de toi
J'e n'es pas vu t'a présence Tous ces mois auprès de moi Cela je ne l'es pas encor dit Cela se voit Pourtant tu es la Tout prés de moi a mes cotes. Tu dors a coté de moi Dans le cœur de bibie Qui bat pour moi Tu attends que je voie que tu es en moi Je le sais je le sens Petit bout de femme Quelle joie dans ces yeux De ce baptême reçu. Qui m'a inondé Coquin de toi Que ma' tu fais écrire la Ce texte que je ne comprenais pas.
Désespérance transformé en espérance De se désamour transformer En concentré de toi Je ne sais pas participer à vos jeux A votre joie Ce combat entre moi et moi Trop difficile Je me referme une fois de plus Suis-je différent ? Je m'isole une fois de plus. Vos jeux à thèmes Vous remplissent de joie Les miens sont dans l'arène ou je me bats.
Quadrature tu cercle Nous voilas en rond Face à face toi contre moi Moi contre moi Pitié pas de notre père Mes frères et moi avons enterré Françoise Ceux-ci m'ont chargé de te glorifié Afin de l'enterré avec un peu de foi Qu'ils n'ont pas Mon cœur c'est brise ce jours la. Au nom d'un notre père. !!
Nous voilas en rond Face à face toi contre moi Face à vous Face à toi A chaque bonheur que je reçois ! J'attends la saloperie qui va Aussitôt venir. C'est comme cela Dans ce rond, Comment exprimer ce changement ? Qui à l' instant ce passe en moi Cela vient du plus profond de moi Que dire ?comment dire ! Je ne parle qu'à toi. Les larmes de joie me viennent Pour la première fois.
Sur le sable en amitié Ont me dit Tu parle de trop Que de toi Même à la filature tu te prends pour le roi C'est comme cela que je le reçois cela est dur Tu accapare benoit quel coup bat C'est la vie Voila la saloperie qui, a suivi Normal Cela a était toujours comme ca Jusque la !!
Ne sais tu pas ami ? Que je te noie de mots Cela me permet de me soigner De mes maux Que faire tous tourne en moi ? Ne suis-je pas armer pour me défendre Oh que si !! J'ai l'esprit et le corps vif Les deux biens armés Dois-je me faire pardonner ? De ce que je suis.
Antithèse de ma philosophie Qui me dit Je suis ce que je suis L'œil de Caïn était dans la tombe Pas ton œil Ami mon frère Dans le mien dans mon regard Il fallait comme Phil m'a demander est tu confirmé ? Attesté ! Je le suis frère Est tu mon tourment ? Non ! Même pas ! Un simple événement Balayé négligemment Dans ce flot de tourments
Voici ma dette Voici mon condette Que toi ami ? Tu liras pour moi ! Pour l'amour de moi Pour mon amour de toi Pour notre amour de lui Pas par vengeance Pour ma pénitence Dieu est passé par toi Aussi Pour moi Je suis apaisé !
Rdessauvages©5 juin 2006
Dernière édition par le Sam 21 Juil - 15:20, édité 2 fois | |
| | | shyman createur
Nombre de messages : 387 Age : 43 Localisation : hesdin Date d'inscription : 13/06/2007
| Sujet: Re: DESSAUVAGES ROBERT (rdessauv) Sam 21 Juil - 15:19 | |
| Nos différences
En quoi sommes-nous différent ?
Dans la pensée, dans notre méthodologie de notre pensée, ou notre façon d'être
Bien oui et heureusement que cela soit possible !
Imaginez donc frères, un monde sans différences, sans odeurs, ou couleurs différences
Ou Tous Aurions la Même Pensée unique soit pareilles a la tienne, a la mienne,
À la votre, a la Notre !
Quel monde fade Ennuyeux, stérile de cette pensée unique !
Ont me dit volubile noyant de paroles les gens mais oui tel st jean la écrit
AU COMMENCEMENT ETAIT LA PAROLE ET LA PAROLE ETAIT AVEC DIEU ET LA PAROLE ETAIT DIEU
N'ais je donc pas la parole ? Parlerais-je donc trop, prenant ainsi la place d'un autre ?
Ne sommes nous pas fils comme toi de dieu, dois je donc me justifier sans cesse de
parler ?
D'exprimer ce Mal être en moi, pourtant il me sembler bien que ce fut l'endroit pour cela,
Non ?
En quoi suis-je différent des autres !
J'essaye d'appliquer ces principes
Adore le Grand Architecte de l'Univers. Qui est Dieu.
Aime ton prochain.
Ne fais point le mal.
Fais le bien.de que tu le peux
Laisse parler les hommes.
Le vrai culte du Grand Architecte consiste dans les bonnes mœurs.
Fais donc le bien pour l'amour du bien lui-même.
Tiens toujours ton âme dans un état pur pour paraître dignement
Devant le Grand Architecte de l'Univers, qui est Dieu.
Estime les bons, plains les faibles, fuis les méchants mais ne hais personne.
Parle sobrement avec les grands, prudemment avec tes égaux, sincèrement avec tes
amis,
Doucement avec les petits, tendrement avec les pauvres.
Ne flatte point ton frère : c'est une trahison. Si ton frère te flatte, crains qu'il ne te
corrompe.
Écoute toujours la voix de ta conscience.
Sois le père des pauvres: chaque soupir que ta dureté leur arrachera augmentera le
nombre de Malédictions qui tomberont sur ta tête.
Respecte l'étranger voyageur; aide-le, sa personne est sacrée pour toi.
Évite les querelles; préviens les insultes, mets toujours la raison de ton côté.
Respecte les femmes; n'abuse jamais de leur faiblesse et meurs plutôt que de les
déshonorer.
Si le Grand Architecte te donne un fils, remercie-le, mais tremble sur le dépôt qu'il te
confie !
Sois pour cet enfant l'image de la Divinité.
Fais que jusqu'à dix ans il te craigne, que jusqu'à vingt il t'aime, que jusqu'à ta mort
Il te respecte.
Jusqu'à dix ans, sois son maître,
(Sous en tendus son guide, fait son éducation, enseigne les choses justes et bonnes, au regard de Dieu)
Jusqu'à vingt ans, son père,
Jusqu'à la mort, son ami.
Pense à lui donner de bons principes plutôt que de belles manières ; qu'il te doive une
droiture
Éclairée, et non pas une frivole élégance.
Fais-le honnête homme plutôt qu'habile homme.
Si tu rougis de ton état, c'est orgueil ; songe que ce n'est pas ta place qui t'honore
Ou te dégrade, mais la façon dont tu l'exerces.
Lis et profite ; vois et imite ; réfléchis et travaille, rapporte tout à l'utilité de tes frères,
C'est travailler pour toi-même.
Sois content de tout, partout et avec tout.
Réjouis-toi de la justice, courrouce-toi contre l'iniquité, souffre sans te plaindre.
Ne juge pas légèrement les actions des hommes, ne blâme point et loue encore moins;
C'est au Grand Architecte de l'Univers qui est Dieu.qui sonde les cœurs à apprécier son
Ouvrage. Voila ma pensée
Elles ne vous déshonorent en rien, elles ne vous offensent en rien
Je suis ce que je suis
Tu es ce que tu es
Dieu nous a fait ainsi, cela est son choix
Ont peut penser que je change cela est vrai, apaisé, je redeviens celui que j'étais
Comme toi un homme de biens
Paix sur la terre des hommes de bonnes volontés
N'avons-nous donc pas de mêmes principes que ceux dicter par Dieu
Celui si ne les a-t-il pas inculqué a son fils, descendu sur terre nous les annoncés
Ne nous a t-il pas donnés à tous ? Ce fils tant aimé !
N'avons-nous pas en commun la pensée suivante pour son prochain !
Je suis contre tes idées, mais je me battrais pour que tu puisses les exprimées !
D'un voyage organisé par une autre fraternité !
N'aurions-nous donc rien à en retirer ?
D'un prochain projeté devrions-nous ne pas y aller ?
Rien à y trouver ? Que nenni mes amis ! Cela ne doit pas être notre avis
Dieu n'est il pas la bas ? Aussi !
A chacun son chemin de sa foi ! Qui de nous peut dire qu'il ne la trouvera pas la bas !
Pas toi, pas moi, pas nous, pas vous. Nous sommes frères sur cette terre.
Tous découle de ce grand architecte jusqu'aux moindres insectes.
Tel est l'essence de notre foi chacun de nous préservons nos différences nous avons
tousCe fils en nous
Il me fallait écrire cela pour ..... Et clore ainsi ce malentendu
Fraternités à tous
Rdessauvages© 14 juin 2006 | |
| | | shyman createur
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| Sujet: Re: DESSAUVAGES ROBERT (rdessauv) Sam 21 Juil - 15:21 | |
| Larmes de désespoirs
Tous ces matins noirs ! Tous ces soirs de désespoirs Que se passe-t-il dans son regard Noir Jais qui m'avait accroché Un soir d'aout Ou est né notre amour fou
Que faire, que dire ? Pour lui plaire Comment lui dire ? De son corps torturé Je n'ai cessé de le désiré
Pourquoi cela ! Comme tous les soirs, De notre amour Je n'ai que tourments Je ne sens que plaies de son passé
Je ne cesse de lui dire Que je la désire A torts ? J'aime son corps Plaies du présent et du passé !
Mon esprit, mon cœur brule de désirs Torturé ma pensée vire D'un tourbillon géant Qui me même sur le sillon de notre passé
Tu temps heureux Ou nous nous sommes aimés Voila mon chagrin ! Je crains que son amour de moi Pas si lointain ! Sois sur le déclin.
Me déclame chaque jour son amour Me confie son âme A tort vois pour elle la mort Abandonné handicapée
Ne sens t'elle pas dans son âme ? Qu'elle m a confié Ce désarroi qui est insidieusement Dans la mienne apeuré, glissé Que perfidement je perds la raison Déraisonne à tous vents
Crains d'elle, de son abandon ! De sa peur de son devenir ? Du repentir de mon engagement Profond dans sa maison !
Oh être que je chéri Ma bibie Rassure-moi, dis-moi Que ce n'est pas de moi Que tu souffre Dit mes torts
Ce n est que ton corps Frêle en douleurs Que te vient ta peine Rassure se visage blême De cet homme qui t'aime
18 juin 2006©Rdessauvages 01h00 | |
| | | shyman createur
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| Sujet: Re: DESSAUVAGES ROBERT (rdessauv) Sam 21 Juil - 15:21 | |
| L'école Victor Duruy la marliere Tourcoing Si j'y ais appris les mots? J'y ais appris les maux! Par tous les coups Que j ai reçu de ces salops. Si j'y ais appris l'écriture? À force de coups de ces ordures! J'ai compris bien plus tard D'ou venait mes maux. En partie aussi de ces salops Qui pour certains instituteurs !! Hommes ou femmes Frapper était de règle. Même avec celle de deux mètres Combien de fois m'ont t'ils tiré les oreilles Avec dans leurs geste la haine Pincer les joues, giflées. Au nom du savoir qu'ils dispenser! Aucun ne mérite d'être citer Sauf deux que mon cœur a placé Dans ma mémoire
L'un a essayé de m'apprendre le basket, Et m'a même fait jouer dans son équipe. L'autre a le même prénom que moi Je connais leurs noms Ceux qui comme moi ? Ont été a Duruy les reconnaitrons Tous les autres sont morts Et j'en suis, heureux. Car en écrivant ce texte Je me vide de la haine ! Qu'ils m'ont enseigné Le seul regret que j'ai C'est que j'ai eu mon fils trop tard Car moi j'aurais fait Ce que mon père n'a jamais fait. Je serais allé les trouver Afin de leurs faires cesser avant leurs retraites les faire arrêter, les empêcher De frapper sur les enfants Et merde Ils ont même était médaillés Pour récompenser leurs années de méfaits A tous ceux de Duruy qui ont subis année1956- 1966 R.Dessauvages© 03.07.2006 | |
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| Sujet: Re: DESSAUVAGES ROBERT (rdessauv) Sam 21 Juil - 15:21 | |
| Bonheur
Bonheur
Bonheur douce espérance des uns Désespérance des autres Tu m'as tellement manqué Que je n'ai plus la force d'espérer.
De toi je n'ai qu'entendu parler Jamais approché, Toujours cherché Depuis l'époque Ou j'ai commencé à penser
D'autres t'on approché Capté, Maitrisé Jouis de toi.
En moi je t'ai cherché Même pas enfoui en moi Pas de passé avec toi Ni de présent a l'instant Ou je compose ce texte.
Sans aucun prétexte Tu te méfie, me fuit M'approche, m'aborde Et saborde tous rayons vers moi Me couvre d'un pale hayon de tristesse
Plus de temps pour le passé Ni le présent Que va devenir mon avenir Sans Bonheur ? Pensées d'un passé Oublié A cet heure ou Je t'approche avec honneur Toi bonheur tant espéré
R.Dessauvages©08.07.2006 | |
| | | shyman createur
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| Sujet: Re: DESSAUVAGES ROBERT (rdessauv) Sam 21 Juil - 15:22 | |
| Une journée sans toi
Ça ne me va pas...
Une heure sans toi,
Non !
Ça ne me va toujours pas...
Une minute sans toi,
En aucun cas!
Une seconde sans penser à toi,
Ça n'existe pas... pour moi
Le temps m'importe peu
Quand je suis avec toi,
Je suis bien dans tes bras.
Le seul regret que j'ai,
C'est d'avoir mis tout ce temps
Pour te rencontrer...
Que je sois avec toi maintenant,
Depuis
Je ne fais plus attention au temps.
Je t'aime et je t'aimerai,
Et cela pour l'éternité...
Tu es celle que j'ai
Toujours espéré
Rdessauvages© 04.08.2006 L'amour ne disparaît jamais De Saint Augustin, adapté par Charles Péguy,
L'amour ne disparaît jamais, La mort n'est rien. Je suis seulement passé dans la pièce à côté. Je suis moi, Tu es toi. Ce que nous étions l'un pour l'autre Nous le sommes toujours.
Donne-moi le nom que tu m'as toujours donné. Parle-moi comme tu l'as toujours fait. N'emploie pas un ton différent, Ne prends pas un air solennel ou triste.
Continue à rire De ce qui nous faisait rire ensemble. Prie, souris, pense à moi. Prie pour moi. Que mon nom soit prononcé à la maison Comme il l'a toujours été, sans emphase d'aucune sorte, Sans une trace d'ombre.
La vie signifie tout, Ce qu'elle a toujours signifié. Elle est ce qu'elle a toujours été. Le fil n'est pas coupé. Pourquoi serais-je ? Hors de ta pensée simplement Parce que je suis hors de ta vie... Je t'attends, Je ne suis pas loin, Juste de l'autre côté du chemin. Tu vois, tout est bien.
Texte dit à la messe funéraire De Françoise Dessauvages 16 déc. 1998 31 janv. 1998
Dernière édition par le Sam 21 Juil - 15:23, édité 1 fois | |
| | | shyman createur
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| Sujet: Re: DESSAUVAGES ROBERT (rdessauv) Sam 21 Juil - 15:23 | |
| Les mots fragiles Les mots fragiles
Les mots sont si fragiles Sur tes lèvres d'argile L'encre à ses boucles brunes M'est unique fortune
Une strophe, un quatrain Tel le galbe d'un sein Le ciel qu'elle dessine A mon âme s'incline
Quand ses lignes se cambrent Je revis au cœur d'Ambre Au plus clair de sa plume Je danse sur la lune
Tous ces morceaux de verre Ses souffrances d'hier Sont des perles de brume Que mon amour consume
Sous la voûte étoilée J'ai appris ta beauté Elle souffle les vers En bulles de lumière
Rdessauvages©04.08.2006 ma promesse jolie texte qui correspond a ma pensée carte acheté a lourdes | |
| | | shyman createur
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| Sujet: Re: DESSAUVAGES ROBERT (rdessauv) Sam 21 Juil - 15:26 | |
| N'en doute pas N'en doute pas
Si Je devais nommer Ce qui m'a le plus ému en toi Dans tes doutes, tes peurs, Tes manques, tes faiblesses, De qui j'ai le plus guetté L'âme mise à nue, Vu se démener dans toutes ses détresses, N'en doute pas Ce serait toi.
Si je devais dire Qui j'ai le plus admiré Dans sa ténacité, sa force, Ses batailles, Pour vaincre malgré tout les pires adversités, Accrocher des étoiles Au nez de ceux qui raillent, N'en doute pas Ce serait toi.
Si je devais crier À la face du monde Qu'en face du malheur, De la cruauté, de l'immonde, J'ai vu le chemin tranquille de l'amour. Qui chante doucement Aux oreilles des plus sourds, Cet amour incompris que le cruel veut tondre, Et qui à le pouvoir de faire mon cœur fondre, N'en doute pas Ce serait toi.
Si je devais choisir Dans tout ce que j'ai vu, Tout ce que j'ai aimé, Tout ce que j'ai connu, Un seul bienfait pour me consoler, Une seule merveille à chérir, à choyer Sur une île de rêve pouvoir l'emmener, Pour lui faire un rempart Lui être dévoué, N'en doute pas Ce serait toi.
Si je devais n'avoir qu'un souhait Je n'aurais qu'un seul refrain Qu'un seul chant Sorti d'un cœur ardent Pour te souhaité une bonne St valentin N'en doute pas Ce n'est que pour toi. Rdessauvages 6 fév. 2007 T'a ris d' mi T'a ris d' mi
T'a ris mi j'ai rin dit
L' d i s a v maudit
Ta dit qu' j'etos baveux
Ché honteux
In pluque t'écris que seros sénile
Ti te vas pas mi ta des biles
Aveuc tuyauterie pourrisse
Y'a rin qui glisse
Que sa' t' rin débile
mi t' in oncle babar
Jamais in dira
Que j 'té laisse un fur'oncle
Nous séparé de t' un oncle
v'la in siege pour ti bébé
Ti poseras t'un cul
Et si t ' un furoncle arrvin
Te pourras pos dire
Ché grâce à 'm'oncle
Ti artrouvras tout s 'qui faut
Ta sono t'in bigophone
Tes images pas sages
T'n ordinateur
T'in cendrier pour t' came
Et webcam eu fond du trou
Puisqu au trou cul
T'as un drame
Au mitan tes cannes
Grâce à t n'oncle
In verra t'un furoncle
Rdessauvages 2002 L' Phoenix L' Phoenix L'quien du prato
Piecette en ché pos combin d' actes vu squ cha comminche Commindité par gill qui voulot qu' j' ecrivos chu l 'theatre Qui renait de ces cendres et de sin quien l' phoenix qui fait parelle t' cheu engeance Infin fot bin viffe et pis y' a aussi lille 2004 Scene 1
Acte 1
Verset 1
Pourquo ch'te presintation ainsi parelle ! t 'ecrit des piches ' de theatre maintenant ? Ben non mais pou des theatreux j' pinsos ben s'qua leurs feras plaijiis Mais pourquo verset 1 ? Ben j'ai pinssi qu'y'avot tellemint longtimps qui'z 'etaute pres de s' ch' eglise Qui z'ont du etes contamines qu' cho ! Aveuc l'vache folle qui coure ou l'maison de la folie lille 2004 vaut mi s'mefie ! Ben vu que l'mise in scene y'es faite in peu y'allait In esperant qui mord pos l 'aute Qui ? ben ! gilles ninnon s'in quien phoenix Fou y un coup pid ou jette un seau d 'iau dés que te l' vot. A qui ? ! a gilles Mais non pos li a s'in quien quoi que.
Scene dans laquelle ont voit deux personnes commentes l 'evenement du siecle A savoir le lancement des travaux de renovations du prato theatre internationnal de quartiers
Internationnal ? ouais il l' connaissent a tournai grace a geraldine cha fait deux belges qu 'cho
Si si ta bin lu y z'ont comminchi s' te semaine Te sur de cha Si j 'te l'dit te m' connot? ben justemint
Scene 1 ect ect ect
Cha va ? Bin non ! t' intind nin s'boucan Cha vint d'ou ? Du prato ! Du prato ? Ben ouais !
S'ont nin mort ceux la ? Y 'avos un mommint qu' in intindot plus parlé d 'eux. Y faisotent plus d'brut Si de timps z'in timps dans ches baveux Y z'ecrivottent chus chés travaux Comme de l 'arlesiennne d 'ailleurs
tous chés theatreux y' connonttent cha Ché eunne piche de theatre Y z'in'parle toudis de s'te bonne fimme l 'arlesienne Mais y'a jamais personne qui la vos Et te paie pour cha ? Ben ouais.
Chés presque parelle pous chés travaux In les intind mais in les vos pos T'intind ch 'boucan Cha in l' intind ben In inttind que cha d'ailleurs
In dos les intinde jusqu'à babelle oued Ch és pour cha que te cros ? qu'il est internationnal l' theatre ouais y doivent aussi in profitiis ? du brut ! la bas
te cros cha ché sur si t approche te fait viré par le coordinnateu de securité du chantier non ? si ! y'a meme viré ch'te gardien d'la filature non ? ben si ! y'a incor de liau d'in t'in seau jette z 'y cha va le refroidir l' vigil
t' in y z'ont nin incor comminchi chés travaux qui z'ont deja eunne idée d'la piche qui vont jouer a l 'rintrée si si jeanne d'arc. Jeanne d 'arc ??
Ben ouais j'l'ai intindu d'mes propes z'oreilles ! De la bouche de sti qui met toudis un nez rouge Ben ouais commint qui s'appelle ? deja ? Ch'ti la ? J' connos qu' li eusse fimme y travalle la aussi Mais commint qui s' appelle mais si t'la deja vu ché l' directeux mais non pos li l'aute inffin ché pos grave
j' l' ai intindu qui demindo a ste vigil l'patoisant d'ecrire un texte sur l'theatre qui tel le phoenix renait de ces cendres tout cha au prato ? ben ouais ché un zoziau qui vole vers le solei et qui s'brule les ailes et qui renait de ces cendres comme l 'theatre qu' cho ! j' ai toudit dit qui fallot s'mefie du feu
in vot ben par la qu' y connotent pos bin l' gardien ché sur des qu'intind un nouviau mot y faut qu 'il le place comme y'es ' la y' a cru que s' etaut l'nom d'un quien normal pour un vigil non ? ben non y dit qu' y'es d 'gauche faudra l mettre sous globe ché eunne espece rare j' 'l ai toudit treuvé bizarre pos ti ?
revenons a nos moutons pouquo jeanne d 'arc ben j' ai intindu dire qu'y z' etaute presses de brules ché nouvelles planche d'le nouvelle scene ben alors ben j' ai es deduit que ché jeanne d ' arc qui vont jouer a l 'rintree
ché l 'seule du coin que j' connos qui a ete brule d 'ailleurs y'a s' plache a lille pour preuffe
hé t' es sur de cha te vot n ' in qui jourrotte l'mort du cygne in quarante actes comme a paris pindant l' guerre la j' l 'ai vu povre bette te dit cha mais ché vrai qu' un la deja vu in tutu l 'aute mais commint qui ch 'appele deja pos grave laisse t'chére
in quarante actes ? ouais ! mais rassure te j' tindrais m'prommesse !! t'cheu promesse ? celle de l'abattre au premis acte pour pos quelle souffre comme in quarante l' abattre qui li non l 'osiaux quoi que ? pour l 'osiaux te sauros ben etes denoncer a brigitte bardot
bin in peut dire malgre qu' il soit in trin d' l 'demolir ch'te theatre y va comme le bestiaux renaitre de ces cendres ouais et combin qui vont durer chés travaux ? onze mos et bin in a pos fini d'in parlé
fin de la premiere scene
et comme qui dit l 'patoisant qu' y' es a l' ouvrache gille j 'espere que t'in fra pos un fromage de s't' hommage quoi que les deux s' apprecie autour d 'eunne bonne bouteille
a l 'equipe formidable du prato total respect pour leurs amities
rdessauvages 9 /04/2004 8hoo | |
| | | shyman createur
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| Sujet: Re: DESSAUVAGES ROBERT (rdessauv) Sam 21 Juil - 15:26 | |
| L'filature
L'filature
L'filature ché comm l'confiture Dés t'y est te v'la collé Cha t'prind l 'figure T'in invie d'resté T'cheu diversité ! Prés de l'porte de douai.
Du coin ou y'avos chés moulins Ti treuffe tout. S 'qu'y'es bon pour ti Comme pou chés petits. Pos chauvin Viens-y ! Meme si t'es pos du coin ?
Si t'en a marre de minger Des chinoiseries ?. Ou bin pou faire œuvrer Ces gamins ? Va donc al crêperie Qu'y'es pos loin ? Celle de moulin Y z'ont d 'bon produits Pour rimplir chés crêpes ! Qui ch'ont pos toudis Forchemint du coin.
Si te fait l'gros dos ? Va donc au Prato Y sont n'in ballots Te rira et pleureras plein t'un séau Désespère pos des travaux Y continute sous chapiteaux.
Chi t'a l'tique d'l'informatique ? Te rêve d'musique ? Ou t'es adorateu d'lecture ? T'aime chés aztèques ? T'étudie chés pastèques ? Va donc al mediateque.
Ben chur l'vie qu'y'es dur Pour ti comme pou mi Si te' creffe a cachi du boulot Y'a bin chur l'ilep dit l 'cref Qui t 'mettra su l 'vo Pout t'armette L'espoir d'artreuvé du boulot.
Si té préfère les films ? De cape et d'épée Si tes devoirs sont vites bâclés ! Te t'vos l 'soldat de Mazarin Ou du roi l' c a p p e c T'armettra vite d'un l'droit Chemin
Te veut construire t 'un cabanon Ameliorié t' majon T'aime bricoler et collé De ptits carres chus du papier De toutes les façons Sans problématique Te fra la haut d'la mosaïque
Chur que j ai oubliis De chés gins de s'coin ! Pos ceux d'l'agence moulins Qui sont touss des gens biens ! Eud' bons copains Mi qu'y'a s du caractère J'devient câlin comme un jeune quien Savent y faire avec chés gins
Tout chés gins habitins l'coin Que j'aime bin !d'ichi ou d'la bas Peu importe d'où t'que vint S'qu y'a sur Des que t'es la t'es d'la fila
Du peuple y'n'da S'in oubliis l'I N A Qu 'y'es la et qu'in oublie pas Du plafond au garni Même d'un ches sous-sol Cha vit
Pos des méchants Ni du truand Seulemint des afants D'la bande de tiots Y' m'font pinssi a l'bande a Bonnot Te verros comm ils filent A st'association fil a fil
Tous in semble a faire d'ces coups S'inbettes pos a fabriquer chés marionnettes Des jeux par-ci Des courses par la Jamais d inbarras D'in l' fond d' brave gars
À quatre heures t'as l'drot a l'confiture Chelle qui guille a t'figure Y'es bin min coin Fait pos t'un dur Viens z' y in copain
t 'es tous s'eu ou bin a deux t 'as besoin d 'être recadré Besoin d 'eunne formation Au tchieu y' a l'anpe Qui t 'arcevra sans façon !
Ta était pitchi par l'genealogie ? Te veut savir si tes d'ichi. Ou d 'la bas Connaître t'un cas ? Arrive aux archives In pluque s'qu'y'es pos plus mal Sont départemental
Y'a aussi tous ceusse que j'peus pos D'écrire ichi Suremint que j' d'ais oubliis Fe n'in l'gros dos Pour ti j ai écrit in lillos s'qu'y'es plus dur Pour mi Que d'vivre à l'filature !
Y'a aussi a l'filature Des habitants Bin pluque que cent Pos grammint d'infants J'les connot chés m ' in boulot Et tertouss insonne Même si y'en a qui bertonnent In vit d'in s' tcheu d'moulin S'qu y ‚es pos dur. Ché a l 'filature.
J'vos que dés l'première ligne Te rigole te pinsse Qu'j'ai oubliis l'gardien des paraboles ! Un vrai chargé d'mission Qui peteras pos un câble ! Vu qui bosse pou région câble Apres sti la Chés sur j'ai fait l' tour d'la filature Et un peu vir que mi l' tourquénnio Me chu pliis in quatre Pou Lille 2004
rdessauvages17/04/2004 19h00
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| | | shyman createur
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| Sujet: Re: DESSAUVAGES ROBERT (rdessauv) Lun 23 Juil - 1:18 | |
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La cigale et la fourmi
La cigale et la fourmi
Traduite en patois de Tourcoing
De notre époque mai 2002
La cigale et la fourmi.
L 'feignasse et l ' crevarte. La cigale ayant chanté tout l 'été
l' feignasse ayant rin foutu com Dab. Tout st' été y fait trop cho pour euvrer. Se trouva fort dépourvue quand la bise fut venue.
Te fait rin ta rin Lui a dit s'mère en lui retirant s 'clef Pas un seul petit morceau de mouches Ou de vermisseau.
Te pinsse pos que tes copains y vont donner Un bout d' shit t'a pu rin demerde te Elle alla crier famine chez la fourmi sa voisine
T'y va cacher dispute chez l' crevarte D 'a coté qui travalle et qui y' a des tunes La priant de lui prêter quelque grain Pour subsister jusqu 'a la saison nouvelle.
Prête mi un bout de ch ' meus quelque feuilles fait n' in t' in vice te' n‚ da j' ‚touche zarma bintot min r. m. i Sur l ‚coran de la mecque j'te dit Je vous paierais lui dit-elle Avant l'août foi d'animal.
J'ai bintot un stage 5 keusse d 'l 'heure J'te rindrais eune barrette d afghane. La fourmi n'est pas prêteuse C'est la son moindre défaut.
l' crevarte qui connot l'zouave Veut rin s'avir casse-toi qu'elle li dit
Que faisiez-vous au temps chaud Elle a cette emprunteuse.
R quo 'te faisot s't 'été A djeuler d'un ces sous-sol du 8 filature. A siffler du Skye et fintchi d'la beu Je chantais ne vous en déplaise Vous chantiez j'en suis fort aise Eh bien dansez maintenant.
Te dinssot te fumo A picoler tout l ' nut Fintchi du shit et d'l'beu te sniifot plein t'in nez a
Te fesot des raves parties Eh dinsse maintenant t 'a qu 'a faire l' dinsse du buffet Pos la peine de braire
T'as rit d'mi t ' attindras tros mos après t'in r m i
Rdessauvages 29 mai 2002
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| Sujet: Re: DESSAUVAGES ROBERT (rdessauv) Jeu 26 Juil - 22:21 | |
| Recommencer sa vie
Recommencer sa vie encore et encore Avec d'autres envies et d'autres décors. Je lève la tête, cherche encore Si dire je t'aime a quelqu'un, rime avec la mort. Ou mon destin.
Si l'on n'enterre pas la mer Qu'importe ma colère Les femmes sont des expertes Pour détruire la beauté en cherchant des prétextes Dans le fond de nos coeurs, Dans les cris de nos pères.
Ne me faites pas perdre pas mes rêves A fouiller mon esprit Je demande une trêve Laisser moi mes rêves.
J'ai cru que l'on puisse m'aimer que je puisse en crever dire je t'aime un jour. Entendre je t'aime toujours Pouvoir parler d'amour En sincérité.
Dériver vers un autre port Rester dans un coin, regarder ses torts. Comme dans un livre écrit Où tout serait dit Pardon, pour mes moments d'esprit. Pas d'armure, être pur, Je suis en délivrance cure de jouvence, Ne pas ressentir votre absence.
Si l'on n'enterre pas la mer Qu'importe ma colère Les hommes sont des experts Pour détruire la beauté ; Cherchant des misères Dans le fond de nos coeurs, Dans les cris de nos mères
Rdessauvages©26.07.2007 | |
| | | shyman createur
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| Sujet: Re: DESSAUVAGES ROBERT (rdessauv) Lun 3 Sep - 22:22 | |
| Qu'Cho dire de pluque
J'a écris m'désespérance d' min Passé
Chelles qui m'a toudis blessé
Chelles du présent comm un Fu ardent
Me torture cha est dur
Depus 98 cha va trop vite
De Françoise
J'ai pos fini de payi l'ardoise
D'mère qui Cros que chu in colère
Vo pos qu' d'elle j'désespère
D'm' femme qui Cros
Que l' foyer pou lequel
J ai toudis bossé s'in raisonné
Tout donné s in compté
Est trop lourd a porté
Elle peut pus supporté
Va ce mettre d'in un foyer de femme
Qui s'ont vraiment désespéré
Eux
Te vos cha d'in leurs yeux
Puis chu l' même mo
J'a vu que mi et min fils in s connot pos
Chu toudis au boulot
Y 'a voulu partir
Mi j'a voulu mourir li
Après s mère
J' pourros pos tenir
M'vla décider à résister
À vivre
Sans elle sans lui
26a Y' a passé
Depus ben longtemps
J'sais qu'elle a cessé d' m'aimer
L'destin Che magicien
De s'in capiaux a sortie un lapreau
Qui de s'in gite d'un d'seul coup s'agite
Ben voila Brigitte
Qui m' dit y'a longtemps qu' mi
Min cœur j' t'es donné
Des que j' t'es lu
J'ai vu t'in cœur désespéré
Le mien depuis t'est donné
Depuis 5 jours a mi cha totalement donné
Mi désespéré
J' me rin compte que j'a été escroqué
Abusé
Avec elle j'ai observé
Commint l'amour m étais donné
Elle p'tit moniau torturé, blessé, frappé
Qui de la vie a été abusé
A mi cha
Totalemint confié
D'in min cœur cha tout douchemint
Fait s'inchemin
Mi qui me plainio de
De mal être aimer
J' vins d' comprendre que je l'avot jamais été
Fo que j' vous laisse
J'vos que du fond d' s'boite
L' magicien dit l'asseyez
Ché être aimer
Te l print t'un lapin
Qui s'agite accepte l'amour de Brigitte l' vrai
Qu'ta toudis espéré
Te finira eute troisième vie enfin aimer
Infin l' bonheur est arrivé
La 'j vos ce que être aimer veut dire
Salut j' me tire
Malheur
J'me tire
Salut bonheur
L' porte du passé j' vins de l'arfemer
J' vos qu' m'in lapin s'agite
J' y' i va bin vite
Rdessauvages© 27 08 2005 | |
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| Sujet: Re: DESSAUVAGES ROBERT (rdessauv) Lun 3 Sep - 22:22 | |
| M' Destinée
J' m'en va ici raconter l'destin d'un tiot très bien
L'mien
En 2005 Ste 29 juillet pour être précis
J'le dit m'moitie ma quitter
Cha ché chur cha ma casser
En patos j'me dos d'le raconté
Pourtint se seros plus facile in francais
Ma j'aime d'in mes textes y mettes des clefs
A m'in cousin et s' femme j' dos la vérité
Comm j' dijot m' femme c'est cassée
Ben que j'mi'attindo
Vir souhaiter Che la ma traumatisé
Pourtin ma pos quitté pou un hidalgo
J'etos désespéré
Chu pos idiot ni ballot
Simplemint un homme qui l' aimos
Ou qui l a aimé
Mais 26 ans y' a passé
Paniqué j'a voulu
Echappé à ma putain préférée
M'destinée
J'a trop subis Depus que chu né
Et même si j' m'arrête au mo d' janvier
Sti ou m' sœur ma laissé
J' peux pos oublier tout sti ma arrivé
Attenté a m' vie j'ai commencé à penser
Ben vite a min cousin
J'a pensé aller pour me refugier
A Caudry prés d'cambrai
Pos eu l' timps d' li deminder
Que s' femme Laure la proposer
Fos ichi que j' cominche a avoué a eux l'vérité
A eux seu qui Depus qu' j'les connais
J' n'es cessé de les aimer
En déroute Patrick, j'a pris la route
Armé d'min p'48
Un qui vint d' l'armé
Chu un parking j' me sus arrêté
Monté chargé j'a bin vite fait
Mi chu m' tempe prés à tirer
Resto pluque a appuyer s'in pensé
J'arros vite passé
D' l'aute coté ou j' voulos aller tel étaut
M' destinée
Si te savos L AURE que tour
Elle m'a encor jouer
Ste putain de destinée
Y m'restos pluque qu'a appuyé
Quand min regard Fu détourné
Par un groupe d' mouchons qui y etos
Attaqué par un noir corbeau
Sti peu t être de m' destinée
Un prés de m' voiture dans un buisson cha caché.
L'aute andoulle de noir
De rage a comminché a tourné pou
Cachis après s in repas du soir
Cha a suffis j'a repris mes esprits
Par l' fenêtre que j'a ouverte
Tros coup j'a tiré
Apres st 'oiseaux de noir habillé
Un homme a surjis
D'ou je ne sais
M'a dit aussitôt
Pou s t'ordure de noir ché du trop gros
Pou ti surtout po
Fait pos cha gamin
T'es trop jeune pou cha
Reprints vite t'in chemin
Si ce moniaux y' a survis ché qui cros a la vie
T'es pos un vautour ta po mérité
De te faire se mauvais tour
Y' a dit cha ni pluque ni moins
Enfin chus arrivé chés mes cousins aimer
D'ou je me chu fait dorloter
Mais j'etos honteux de pos pouvoir leur dire la vérité
Y' n' arrotte pos in gueullé ni laure ni Patrick
Cha je le sais
J' pinse qu'eux y z' ont deviné
D'in leu maison j'ai pos oser habité
J'ai préféré caravané
J'voulos pos amener chus eux
Ste putain de destiné
Puis calmé j'a repris m' route
M'in cœur y' etos pos in déroute
Chu passer par l' route qui ma amener
Ché l' tante de chelle qui m'a délaissé
A qui j'a raconté m' destinée qui m' peine a touché
M'avoué que j'etos s'in préféré
Ma dit j' va t donné s'que
T'in oncle a aimer
Grimpe a l'étage et dechins
D'in ches bras st 'objet t'en aimer
Un fusil d'chasse a canon superposer
Et des cartouche de marque
Tunet
Vu l'calibre ché clair et net
Que dire face a Ste destinée
T inquiète pos matante chu ben armer
Ben non
Ste fusil j'ai accepté
Tel un cadeau qui m'était donné
Ste putain de destinée a ben du s 'marrer
Faire offrir a un désespéré un fusil bien graisser
Comm pou êtes sur que j avos ben saisi
S' que l homme m'avos dit
Chu 'j'rinter après avire été Sophie chercher
M' copine de la filature qui avos auchi un coups dur
A qui j'a montrer l' fusil et qui pourra in attester
Du cadeau qui ma été donner
Pis le temps a passer j'à repris l' boulot
M'peine auchi cha un peu cha calmé
Puis eunne copine a mis cha donné
Ma calmé aveuc patience m'a écouté
Parlé de l'aute qui m avos abandonné
A mis totalement cha donné
A mi qui ne peut resté un jour de l'aute li parlé
Elle me répond a mi
Amours
J'li dit mes crainte
Me dit les siennes qui chons en elle
D êtres abandonné
Par mis qu'elle a aimer
Des qu'elle a lu les pages du livre ou j' me chu livré
Que dire d m'destinée rin si
Qu'elle tour t'est encor entrain d' me jouer
T arros Infin décider qu' j'à saros avire l'dros d'êtes enfin aimer
Si te ris d' mi fait gaffe
Chu un homme sur armer
Et cha du plomb
D'in t'es fesse cha pourros ben êtes ta destinées
[color=#9a9aff]A toi Laure A toi Patrick
A t[color:62b1=#9b9bff:62b1]oi ma B
Toi ma destinée dont
Je n'ai pas besoin d écrire le nom
Tu te reconnaitra
TOI a qui je lirais ce texte
Doucement A l'oreille
Toi qui m'a de suite aimer
Rdessauvages 29 aout 2005 | |
| | | shyman createur
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| Sujet: Re: DESSAUVAGES ROBERT (rdessauv) Lun 3 Sep - 22:23 | |
| Bibie
Je te donne ce petit présent pour toi
Rien que toi
Modeste cadeau d'anniversaire
Rien au monde n'est trop beau
Pour toi
Ton premier pour moi avec toi
Et pourquoi
Parce que je ne savais pas
Ce que je sais ces jours ci
Que tu exister pour moi
Tu disais es ce que Dieu parle
Pour moi il m'a écouté
A moi il ta donner
Je lui demandé donne moi quelqu'un a aimé
Mais très malin DIEU m'a donné le contraire
Quel qu'un qui déjà m'aimer
Toi
Aujourd'hui je peux te dire
A l'instant même ou j'écris
Que mon cœur est rempli de toi
Mon esprit à toi est acquis
Je ne sais toujours pas si Dieu me parle
Mais je sais qu'il m'a écouté
Plus de doute pour toi
Des que tu liras ce mot
Sache que le petit gros
Qui se tiens penaud devant toi
Est désarmé
Mais que quoique tu puisses décider
L'aimer ou le quitter
Cela est ma peur
Sache que ce matin en lui c'est clair
Il a vu clair
Son cœur léger c'est pris a t' aimer
Je te le dit ma bibi
Avec mon cœur tranquilliser
Se matin de 2 septembre 2005
Le seul cadeau qui pouvait t' aller c est te dire
Brigitte je t aime
Voila mon cadeau d anniversaire pour toi
Le seul que je puisse te donné le seul qui a mes yeux tu as mérité
Ainsi dieu a décidé
Avait il besoin de parlé ou de temps pour nous forger
Cet amour donc il nous a affublés
Je ne sais pas mais ne me laisse pas
Moi a toi
Toi a moi
Rdessauvages©2sept 2005 | |
| | | shyman createur
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| Sujet: Re: DESSAUVAGES ROBERT (rdessauv) Lun 3 Sep - 22:23 | |
| Petite fleur
Petite fleur bicolore Petite bibie toute douceur ! Tu te réveille petite merveille Deux couleurs Jaune soleil présent en toi Et ce noir corbeau Voila ta douleur.
Voila que tes pistilles Te bouscule au plus profond de toi Ce noir corbeau encore en toi Te distille tes peines Du passé douleurs Qui vivent en toi.
Laisse cette couleur Jaune merveille de soleil ! Te pénétrer Ce jaune tournesol te guérir Le cœur pétrir ! Tes dols partir.
Cette Fleur, ta préférée ! A tu observé ? Que bien des tourments ! Plie son corps Aux grés des mauvais vents.
Laisse ce noir corbeau A sa destiné. De ton passé Petite fleur bicolore Petite bibie toute douceur ! Tu te réveille Tu m'émerveille Petit soleil.
Regarde cette merveille ! Qui se détourne du sol Pour aller vers le soleil. Laisse exulté ! Cette chaleur en toi.
Vers ce soleil de ta foi ! Cette joie de moi, De nous ! Sous ce vent si doux.
La lumière en toi Chasse tes ténèbres De ton toi, passé ! Laisse le trépassé Vois-tu ? que tu rayonne Autour de toi, Sur moi.
Regarde cette merveille Tu te réveille Jaune soleil éclatant A ton contact Moi vil chardon Devient pardon !
Petit tournesol De mon cœur si douleurs Quel bonheur de toi de nous Petite bibie toute douceur ! Jaune soleil éclatant Mon cœur. Devient brulant
Ce noir corbeau Parti de toi Garde-le comme souvenirs Du passé éloigné ! Du chemin a ne pas oublié De ta joie, de ta foi ! De moi de nous Du jaune soleil en toi.
Rdessauvages©08/06/2006 | |
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| Sujet: Re: DESSAUVAGES ROBERT (rdessauv) Lun 3 Sep - 22:24 | |
| G. A. D. L. U.
AU COMMENCEMENT ETAIT LA PAROLE ET LA PAROLE ETAIT AVEC DIEU ET LA PAROLE ETAIT DIEU
TEL ECRIT DANS LE VOLUME SACRE DE LA LOI
JEAN 1 V1
Un Macon est obligé de part sa tenure D'obéir a la loi morale et S'il comprend bien l'art royal, Il ne sera jamais un athée stupide ni un libertin religieux quoique dans les temps anciens les maçons astreints dans chaque pays d'appartenir à la religion de ce pays ou de cette nation quelle qu'elle fut.
Il est plus expédient de les soumettre à cette religion que tous hommes accepte. Laissant à Chacun son opinion particulière. Qui consiste à être des hommes bons, Loyaux, et hommes d'honneur, de probité. Quelles que soient les dénominations Ou croyances qui puissent les distingues.
Ainsi le Macon devient le centre d'union et le moyen de nouer une véritable amitié parmi les hommes qui eussent dut Demeurer perpétuellement éloignés.
NOSCE TE IPSUM –
Connais-toi toi-même.
Si Si tu peux voir détruit l'ouvrage de ta vie ! Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir. Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties ! Sans un geste et sans un soupir.
Si tu peux être amant sans être fou d'amour ! Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre. Et te sentant haï sans haïr à ton tour, Pourtant lutter et te défendre .
Si tu peux supporter d'entendre tes paroles Travesties par des gueux pour exciter des sots, Et d'entendre mentir sur toi leurs bouches folles Sans mentir toi-même d'un mot ;
Si tu peux rester digne en étant populaire, Si tu peux rester peuple en conseillant les rois, Et si tu peux aimer tous tes amis en frère, Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi ;
Si tu sais méditer, observer et connaître, Sans jamais devenir sceptique ou destructeur ; Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître, Penser sans n'être qu'un penseur ;
Si tu peux être dur sans jamais être en rage, Si tu peux être brave et jamais imprudent, Si tu sais être bon, si tu sais être sage, Sans être moral ni pédant ;
Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite Et recevoir ces deux menteurs d'un même front, Si tu peux conserver ton courage et ta tête Quand tous les autres la perdront,
Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire Seront tous jamais tes esclaves soumis, Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire, Tu seras un homme, mon fils.
Rudyard KIPLING
Extrait du Traité sur la Tolérance (Voltaire)
Prière à Dieu.
Ce n'est donc plus aux hommes Que je m'adresse; C'est à toi, Dieu De tous les êtres, De tous les mondes Et de tous les temps:
S'il est permis à de faibles créatures Perdues dans l'immensité, Et imperceptibles au reste de l'univers,
D'oser te demander quelque chose, C'est à toi qui as tout donné, À toi dont les décrets Sont immuables comme éternels;
Daigne
Regarder en pitié les erreurs attachées, À notre nature; Que ces erreurs ne fassent point nos calamités.
Tu ne nous as point donné un cœur pour nous haïr, Et des mains pour nous égorger; Fais que nous nous aidions mutuellement,
À supporter le fardeau d'une vie pénible et passagère; Que les petites différences entre les vêtements, Qui revêtent nos débiles corps,
Entre tous nos langages insuffisants, Entre tous nos usages ridicules, Entre toutes nos lois imparfaites, Entre toutes nos opinions insensées, Entre toutes nos conditions Si disproportionnées à nos yeux, Et si égales devant toi;
Que toutes ces petites nuances, Qui distinguent les atomes appelés hommes, Ne soient pas des signaux De haines et de persécutions;
Que ceux qui allument des cierges en plein midi, Pour te célébrer supportent ceux qui se contentent, De la lumière de ton soleil;
Que ceux qui couvrent Leurs robes d'une toile blanche Pour dire qu'il faut t'aimer ne déteste pas, Ceux qui disent la même chose Sous un manteau de laine noire;
Qu'il soit égal de t'adorer dans un jargon, Formé d'une ancienne langue Ou dans un jargon plus nouveau;
Que ceux qui dominent sur une petite parcelle D'un petit tas de la boue de ce monde, Et qui possèdent quelques fragments Arrondis d'un certain métal,
Jouissent sans orgueil, De ce qu'ils appellent grandeur et richesse, Et que les autres les voient sans envie :
Car tu sais qu'il n'y a dans ces vanités Ni de quoi envier, Ni de quoi s'enorgueillir. Puissent tous les hommes se souvenir Qu'ils sont frères !
Qu'ils aient en horreur La tyrannie exercée sur les âmes, Comme ils ont en exécration Le brigandage, Qui ravit par la force le fruit du travail, Et de l'industrie paisible !
Si les fléaux de la guerre Sont inévitables, Ne nous haïssons pas, Ne nous déchirons Pas les uns les autres Dans le sein de la paix, Et employons l'instant de notre existence À bénir également en mille langages divers, Depuis le Siam jusqu'à la Californie, Ta bonté qui nous a donné cet instant.
La Lumière
Par la lumière nous vivons. .^ .
vers la lumière nous allons. .^ .
Ainsi parlait au début du XX° Siècle le philosophe indien Sri Aurobindo
Qui formulait sans doute Une réponse à deux Des trois grandes questions :
Qui sommes nous ? D'où venons-nous ? Où allons-nous ?
D'où venons-nous ? De la lumière,
Où allons-nous ? Vers la lumière
Qui sommes-nous ? A cette question, Goethe avait déjà proposé une réponse :
« De la lumière, rien que de la lumière... »
quête de la lumière philosophique spirituelle !
Je vous propose une équation philosophique, mes Frères .^. Par la lumière nous vivons !
vers la lumière nous allons Poussière tu étais poussière tu seras
Avec la poussière symbolique du Nadir et la Lumière symbolique du Zénith, C'est le parcours d'un être humain qui sort du néant. !
Pour tenter d'atteindre un potentiel nirvana. Ce parcours est l'ambition innée De tout être humain.
C'est l'ambition travaillée du FR. .^. m. .^. ayant reçu La Lumière de l'Initiation !
qui lui permet de se mettre en quête De ces autres lumières Que sont la recherche de la vérité !
L'objectif de la perfection. Notre esprit progresse À chaque instant de notre vie !
Notre sphère de connaissances prend du volume. Ainsi, l'être humain est
de plus en plus lumineux de son savoir, tout en acquérant une conscience de plus en plus grande.
de plus en plus claire de l'éloignement de plus en plus grand de son but.
C'est une quête probablement éternelle Pour laquelle les hommes et les femmes se relaient de père en fils.
De mère en fille, De génération en génération, Avec une soif inextinguible
D'en savoir toujours davantage. Dans nos Temples, Tout en travaillant à cet effort commun.
nous sommes raisonnablement conscients de notre petitesse Nous sommes à la fois si fiers
Si malheureux de cette conscience. La Lumière nous fut révélé nous savons bien
Que nous n'en avons reçu qu'un rayon.
Rdessauvages © 18.03.2006 | |
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| Sujet: Re: DESSAUVAGES ROBERT (rdessauv) Lun 3 Sep - 22:24 | |
| Mon père, mon visage.
Un seul instant Dans sa vie Il m'est apparu Comme mis à nu ! La vie y avait buriné de larges sillons Comme tracé au crayon !
Qui témoignaient Des années passées ! A travaillé essayer de survivre sur cette terre A se battre ! A nous sortir de la misère.
Mes yeux y ont découvert toute la beauté De cet homme, De cet humain, de mon père, De ce frère ! Peut être mes yeux Ne l'ont pas regardé ! Là où d'autres l'on fait.
Ma vision de cette peau vieillie Par le temps Avait l'apparence d'une vision lunaire paysage dénudé de toute beauté Deux yeux ! Deux cratères ! D'une vie a trimé.
Comme une sonde Je me suis introduit Au plus profond de lui-même j'y ai découvert un cœur Le sien !
J'ai fermé les yeux, Une seconde Cela a suffit, Pour me faire réaliser ! Qu'il me manquait Que ce visage, serait le mien ! Dans très peu de temps.
L'exclamation ! Qu'il avait poussée près de moi Lors de son trépas M'a fait comprendre combien Doucement la vie s'éloignait de moi
Combien d'années me restent-ils ? Avant de prendre moi aussi ce visage De susciter aussi la même expression ? Dieu seul le sait dit' on ! Qui se poseras la même question. ? Probablement mon enfant ! Et les siens Et tous ces frères qui sont les miens.
Rdessauvages11 .06.2006 | |
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| Sujet: Re: DESSAUVAGES ROBERT (rdessauv) Lun 3 Sep - 22:24 | |
| Ma douce amie
Que le doute ne soit pus permit Je te le dis Douce amie Toi qui as conquis mon cœur Sans problèmes je te redis je t'aime
Que le seul doute permis Soit celui de la vie Celle dont j'ai toujours eu envie Je te le dis douce amie
Que longue vie nous soient permis Vie simple avec toi Je serais humble pour toi Je te le dis douce amie
Il me vient comme le Roy Cela m'est permis ma reine sans peines De vous dire De votre amour vous n'avez conquis
Rdessauvages ©11.06.2006 | |
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| Sujet: Re: DESSAUVAGES ROBERT (rdessauv) Lun 3 Sep - 22:25 | |
| Poèmes aux hêtres
Il était une fois une jeune danseuse qui s'appelait Brigitte. Brigitte mangeait comme un oiseau !
On lui disait Mange Brigitte Mange!
Il n'y a que les passereaux qui vivent comme les oiseaux ! Brigitte continuait à manger comme un oiseau Un jour les gentils hêtres lui dirent.
Brigitte !, a vivre comme un passereau Tu ne seras jamais forte comme un bouleau Et souple comme un roseau !
Mange Brigitte Mange! Les cigales ne dansent pas pour les toranos Les passerots n'ont pas besoin d'être souple comme le roseau,
Ils sont libres comme Les bourdons Et petits comme le plumeau. Alors, Brigitte goute un peu de tout,
On ne te demandera jamais de manger comme un sureau ! Mais juste de grandir et d'être forte comme un bouleau Et souple comme le roseau
Mange Brigitte Mange! Brigitte continue de vivre
Jean de la fontaine aux danseuses Texte modifié par Brigitte et Robert
24.04.2006 | |
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| Sujet: Re: DESSAUVAGES ROBERT (rdessauv) Lun 3 Sep - 22:25 | |
| J'ai parlé de la vie
J'ai parlé de la vie, Sans connaître ta présence J'ai parlé de l'amour, Sans connaître ta voix.
J'ai parlé du désir, Sans connaître tes mains, ni ta bouche ! J'ai parlé pour ne rien dire Et je me suis tu. Mais où étais-tu ?
J'ai parlé du bonheur J'ai laissé parler mon cœur Ais-je tort ? J'ai parlé du corps De nos corps enlacés Ais-je tort ?
J'ai parlé de l'esprit J'ai parlé de douceur et de bonté D'amour et de charité Alors tu m'as accueilli Ais je failli ?
Puis ! J'ai parlé à nouveau A mon cœur seulement De mon amour impossible De l'homme en somme ! De la vision que j'en ais De nos vies parallèles Plus rien n'est désormais pareil.
J'ai parlé de la vie, J'ai parlé de l'amour, J'ai parlé du bonheur J''ai parlé du corps Ais-je tort ?
J'ai parlé de l'esprit J'ai parlé du désir de lui De mon amour impossible Ais je failli ? Eu tort ! Je me suis tu Plus rien n'est désormais pareil.
Rdessauvages©22.09.2006 | |
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| Sujet: Re: DESSAUVAGES ROBERT (rdessauv) Lun 3 Sep - 22:26 | |
| Tout par amour Rien par la force
Me voici donc là-bas pour diverses raisons bonnes ou mauvaises suivant celui qui pose la question. Je biaise tout le temps. Au fond de moi je connais la réponse. Soit face a soit. Oh je ne les crains pas.ils parlent de choses que je connais, que j'ai reçu ou enseigner. L'amour, la charité, l'espérance, la tolérance, la liberté de culte, le don de soi, le partage La différence, la foi. Avec eux je suis en paix. Tout cela je connais, je le vis. Sauf que j'ai perdu l'espérance dans le Père. Dieu. Ah dieu voila ma souffrance. Il m'est facile de part ma fraternité de me dire déiste. Bien commode la méconnaissance de l'autre pensée, pas pour moi, J'en joue. Je parle beaucoup ont vient de me le dire par deux fois. Une fois en riant l'autre avec étonnement ce neuf octobre 2006. Par deux fois je suis renvoyé sur un autre frère ! Aurait t'il plus de patience ? . J'ai dut en lasser plus d'un, Peut être ?probablement ! Certainement ! Se connais t'on, difficile de le dire. Mais il est certain que jours après jours nous apprenons à nous connaître, par petit bouts. Mais ce frère ne m écoute pas il m'entend, voila sa différence. Grâce a lui j'ai pus faire un chemin de reconstruction qui n'est pas terminé, avec patience ce frère m'a entendu. Avec lui j'ai partagé le pain à la basilique, tenant ainsi une promesse faite à ce frère. A lui en partageant mon hostie, j'ai pus lui dire je t'aime dieu des hommes. Je t'aime mon frère. A ce moment la je n'étais dans une église d'une religion ou d'une autre. J'étais avec ce frère dans l'église de Dieu, la mienne, la notre, celle de l'homme, celle du fils Il me reste à faire envers et probablement grâce lui l'accomplissement d'une autre promesse le temps venu, celui de la réconciliation. De la reconstruction spirituelle, humaine. Mon cœur est explosé, brisé. Chamallo dans un bloc de béton.mon béton explose. Je ne juge personne, je me livre simplement honnêtement comme je sais le faire, bien mieux me dit 'on par écrit que par la parole. Pas facile de dire que je retrouve tout doucement le chemin de Dieu grâce à une fraternité qui n'est pas la mienne, et pourtant. Je vis ce jour avec un être qui essaye de vivre et d'aimer comme Dieu la prescrit et j'en suis heureux, ma compagne Brigitte. Je viens d'accepter cette femme comme un cadeau de Dieu. Très différent l'un de l'autre et pourtant si proche. je viens de comprendre que cela est un cadeau de Dieu tout simplement en écrivant ce texte, au fur et à mesure que le clavier frappe ces mots, que de souffrances cacher derrière ces mots , souffrances a demi cachées non dites ,par orgueil, gêne ?, pudeur. Plus facile de soulager, d'écouter la peine des autres ; bien dur que de ce soulager soit même, et pourtant, que d'amour dans cet espace de lourdes de chaleurs , d espérances ,de foi , mais aussi de souffrances.
A chaque fois que j'ai pus j'ai fuit, prenant le premier prétexte venu Dieu m'a ramener a lui a chaque fois.
Facile de se dire que sous prétexte d'une autre fraternité, de biaiser, de quitter cette église, A chaque fois j'ai était mis face a la souffrance de l'autre, des autres de leurs espérances, De leur fois en Dieu ; en christ roi. Je ne saurais jamais vénérer ou voir la vierge de votre façon, mais la n'est pas l'essentiel, me disais tu Philipe oh combien tu as raison.
Mon église est dans la rue, dans la foi de l'autre au service de l'autre. J'ai trouvé les qualités et les défauts de l'homme, mais en eux j'ai retrouvé Dieu A ma façon, comme je suis ? Ou comme j'avais oublié d'être.
Toujours en opposition me croyais je, pourtant Lionel mon frère tu m'as tiré les larmes des yeux lorsque que tu as cru que je te nier en tant qu'homme, il a bien longtemps que cette émotion a jaillis de mes yeux, je me suis cru blindé dans du béton, tu as fait exploser la première couche.
En tenant ta sono lors de ton chemin de croix j'ai cru te rendre service à toi et Gabrielle Mais en fait je me suis rendu service a moi-même, n'avais je pas trouvé dans les précédant chemins de croix l'occasion de fuir oh que si, pourtant avec vous sans que vous en doutiez j'ai fait mon propre chemin de croix, que Dieu vous bénissent tout deux je suis en paix. Bien sur l'homme c'est révélé tel qui est, a lourdes ou ailleurs l'homme est l'homme personne n'est parfait, moi non plus mais cela n est pas l'essentiel.
Sacré Murielle.
Toi à ta façon tu as compris bien plus que d'autres, le royaume de Dieu, Tes inquiétudes, tes chansons, ta gentillesse, ta façon d'être, tes peurs, ta foi m'a fait dire le notre père pour toi et cela en paix s'en être rejeter dans ma souffrance, la mort de ma sœur. En toi j'ai retrouvé les qualités de ma sœur tu es ma sœur. Pour toi j'ai prié face à la grotte dans ta foi, pour Marie qui ne me parle pas, toi si Murielle Pour toi pour ta joie, ta foi, ta façon d'être et j'en suis heureux de ta joie, de ta patience de moi.
Lucien
Avec toi en riants de nos souffrances nous avons appris que lorsque l'ont se croit en bas de l'échelle de la souffrance il y a encore en dessous de nous une échelle. En t'offrant mon couteau que tu devras aiguiser chaque jours car il est d'un mauvais Acier, tu m'as promis de te souvenir de moi, de notre partage, que la vie vaut d'être vécue pleinement, sereinement, que la vie domine que bien que dure il vaut mieux vivre cette vie. L'homme est ainsi fait, même les plus durs pleurent. Nous avons était surpris tout les deux de la connaissance de ta mère et oui j'avais entendue ces souffrances de toi, tes souffrances d'elle. Tiens ta promesse mon frère dit lui que tu l'aime à chaque fois que tu aiguiseras ce couteau. Tous les jours nous supporterons notre joug, notre fardeau jours après jours.
Lucianna
Tu m'interpelle engageant le dialogue par ces mots, seule assise sur un banc les larmes aux yeux. Je t'es vu me suivre du regard. M'observant donnant ma peine et recevant les peines des autres.
Tu me dis !
Toi tu me regarde ?
Bien sur ma sœur je te regarde comme un être vivant, un esprit vivant.
Non tu me regarde comme une femme
Je suis grosse, noire dans un pays qui n'es pas le mien. J'ai de la peine les gens sont parfois méchants. Et toi tu me regarde comme une personne normale. J'ai de la peine pour ces gens raciste, bête et méchants et ils ne me connaissent pas pourtant.
Je te dis
Moi aussi je suis gros dans une région inconnue de moi, dans un lieu de pensées qui n'est pas le mien.
J'entends de tes lèvres ces mots, serais tu capable de m'aimer ? Telle que je suis grosse ! .
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| | | shyman createur
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| Sujet: Re: DESSAUVAGES ROBERT (rdessauv) Lun 3 Sep - 22:26 | |
| Comment te prénommes-tu ?dis-je.
Je n'arrive pas à faire taire cette peine qui monte en moi.
Lucianna. Me réponds-tu.
Moi je me prénomme robert
Oui Lucianna, si le destin l'avais voulu. j'aurais pus t'aimer comme un homme se doit d'aimer une femme, mais j'ai ma Brigitte. Nous nous aimons, tu me questionne je te donne de ma souffrance tu me devine comme dans un livre ouvert et j'admets pour la première fois devant cette inconnue.
Brigitte, Dieu me la donnée.
Oui j'aurais pus t'aimer car je sais que les femmes fortes ont une tendresse énorme. Elle sourie pour la première fois, enfin et nous discutons.
Cœur immense dans un corps trop petit, non tu n'es pas trop forte, ton corps est bien trop petit pour contenir ta foi en l'homme et dieu.
Cœur immense dans un corps pas assez gros, tu pressens l'homme dans sa nature.
Et puis doucement tout doucement comme pour vérifier mes dires les éprouver tu me susurre.
J'ai fuis mon pays, mon mari ma forcée moi, mes deux filles et mon fils.
La, je vacille, la haine monte en moi.
En trente secondes tous s'écoule en moi, la rage me prend.
Que dire, que faire devant cette souffrance.
Dieu la foi l'espérance et tout le reste s'écroule.ma gorge se resserre et la je prends
Conscience des femmes martyrisées, battues, violées. Bien sur je milite pour les droits des
Femmes comme tout le monde, dans une idéologie en parlant, revendiquant, mais la face a
Face directement avec toi ma sœur je ne supporte pas, trop dur.
Je hais cet homme sans le Connaître, pour toi, pour toutes les femmes bafouées.
Toi tu me remercie pour ma peine et tout doucement tu me console tu me dis que tu lui
Pardonne, qu'il est bien plus malheureux que toi, que tu le plains lui ton bourreau.
Que dire ? Rien je te demande pardon pour lui, pardon pour tous ces hommes indignes.
Pour toi j'entends et je comprends ta façon d'être, de raisonner, de penser.
Cet homme qui ta meurtrie toi et tes enfants est bien plus malheureux que toi, il a pus un
Moment brisé ton corps et celui de tes trois enfants, il n'a pus brisé cet amour de l'autre.
Ne pleure pas sur ta couleur et tes origines, tu es d'une fraternité qui t'aime.
Présente en ce Lieu. Tout autour de toi.
Je me sens aussi seul que toi dans ce lieu qui m'est étranger, loin de ma communauté.
Devant tes dires je me sens humble je suis un negre blanc, je te le dis.
Toi tu me console, moi l'homme.
Le lendemain jour de ton départ, tu remarque mon bracelet Africain. A mon poignet droit
Je te l'offre tu me dis « depuis mon agression c'est la première fois que j'accepte
Quelque chose d'un homme ».
Oh Lucianna accepte je me tairais sur le reste, tout ne peut être dit.
A mon oreille tu chuchote merci robert, tu m'as fait du bien.
Je me souviendrais du negre Blanc, et dés que j'aurais ma maison tu viendras Brigitte et toi et je brulerais de l'encens.
Je mettrais du pain et du sel a l'entrée de ma maison, comme tu fais toi pour accueillir L'étranger de passage, la sœur, le frère que vous êtes.
Et en riant tu me dis pardonne a l'homme comme Dieu la fait, prie et continue d'aimer Brigitte, protège la. Elle t'aime très très fort je le ressens a l'année prochaine.
Edmond.
Me voila a la marche aux flambeaux, isoler du groupe avec bibie nous dépassons un vieil Homme claudicant portant son texte d'une main sa bougie de l'autre son siège de camping autour du cou une vieille parka comme manteau.
Nous te dépassons bibie et moi, voyons ton désarrois, je viens vers toi naturellement, sans crainte te propose mon bras. Moi qui chercher l'excuse pour me défiler me voila avec un inconnu lui tenant le bras. Cinq cent mètres plus loin tu me demande « tu ne chante pas la gloire de la vierge ? » Non cela n'est pas ma foi, « et bien tu me soutiens moi je chanterais pour toi ! » et te voila Edmond a quatre vingt trois ans augmentant le son de ta voix. Nous avons fait ensemble le circuit complet a la sortie de st pierre tu me remercie ! Non Edmond ! C'est moi qui te remercie. J'ai été au bout de la rencontre de l'autre. Sur ton chemin !
Tu dis c'est la dernière fois que je viens au pèlerinage, tu m'embrasse, échange nos bougies, que dire rien ! . Je suis cloué sur place.
La vielle dame
Toi ma Murielle face a la grotte tu as chuté, partie dans les nuages ton esprit, la maladie te reprend, nous nous inquiétons, les personnes qui sont la avec toi aussi.
Arrivent les secouristes et le brancard te voila porté avec amours par ces gens suivi du frère Dominicain mineo, isolé du groupe celui partant a ta recherche. Je vais vers tous les postes de secours a ta recherche traversant a plusieurs reprise ce groupe de pèlerins sur brancards et Chaise roulante, stoppé par une chaise roulante, une dame assise dessus me prend le bras et me dit
Quel espoir me reste t'il quelle espérance ?
Je viens d'enterrer mon mari et j ai perdu mes cinq enfants. J'ai 93 ans. Oh !!Dame aux cheveux d'argent, tu me montre une photo, me dit que je lui ressemble. Merci me dit 'elle. Dans ma tête, je dis non, ma voix dit oui. Priez pour moi dis je, Je le ferais devant la grotte de suite répond t'elle.
Ne nous sommes nous pas frères et sœurs de cœur !
Pour vous je serais votre fils de cœur.
Voila mon Lourdes il vaut ce qu'il vaut ni plus ni moins. J'ai reçu énormément.
Je suis ce que je suis.
Dis ce que je fais .fais ce que je dis. Je ne peux tout écrire tout dire. À si.
Une pensée pour Coco brave gars. Tendre, pleurant à notre départ resté sur place pour son
Lourdes.
A tous.
A toi mon frère qui se reconnaitras nous avons un bout de chemin à faire ensemble.
Si tu le veux.
Si Dieu le veut Rdessauvages©10.10.2006 | |
| | | shyman createur
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| Sujet: Re: DESSAUVAGES ROBERT (rdessauv) Lun 3 Sep - 22:27 | |
| J'imagine !
J'imagine : de pouvoir vivre dans. Un endroit de joies et de beautés. Un monde de pureté dont les gens ne pourraient que s'aimer. Un jardin rempli de fleurs, de lumières. Un monde de regards ensoleillés.
J'imagine que mon monde soit éternel. Comme la vie serait belle. Chaque personne parlerait d'une voix douce. Au delà des frontières Les gens s'aimant tous.
J'imagine ce monde sans guerres. Toute cette paix sur cette terre. Plus une tache de sang qui salit nos terres, nos vêtements. Nous serions frères né d'un même père.
J'imagine nous tous réunis mains dans la main. Avec le regard de ces êtres humains. Qui n'auraient plus de chagrins. A Ce jour et pourquoi pas demain.
J'imagine un instant si les grands de ce monde. Nous écoutaient, nous les vagabonds de la paix. Les mendiants de la charité, de l'amour et de fraternité Au lieu de déclarer des guerres. S'ils décidaient d'une vraie paix sur notre terre.
J'imagine! Je vous en prie, pensez comme moi. Nous aussi nous avons des droits. Ces politiciens entendraient nos voix. Si nous déclamions cela. Imaginons qu'ils comprennent notre choix !
J'imagine qu'ils enlèvent toutes leurs lois. Oh ! Que cette vie serait belle. Sans haines. S'ils entendaient nos appels. Qu'ils comprennent enfin que leur monde est fini. Comme cette vie serait belle à l'infini.
Rdessauvages©- 17/10/2006 | |
| | | shyman createur
Nombre de messages : 387 Age : 43 Localisation : hesdin Date d'inscription : 13/06/2007
| Sujet: Re: DESSAUVAGES ROBERT (rdessauv) Lun 3 Sep - 22:27 | |
| Nou ' pater
Qui joque au d'ssus d't'chées nuages. Pos bin vu par ces bonhommes. Que t'in nom So sinctifié ! Qu' tin règne vint bin vite ! Vu qu'ichi bas in en a besoin.
Que t'volinté So faite. Ichi bas Comm' la haut au d'ssus ces nuaches. Pou ceux qui arrewette fin bin.
Donne à tertouss leurs croutes ! Pou leu estoma et leur cervelles.
Pardonne-nous nos Garnousettes Te saros mi nous in vouloir ? A nous autes ! Comm nous in peu pos caché D' l misère aux autes.
Ne nous tinte pos Mais deliffe nous de s'te Mauvais fieu. Sti qui s' muche tout in bas.
Mais fait qui n'arrevienne pos Nous cachis des nouazes
Y'a Rin à dire l'ad 'sus Ché t'y Qu' y'es maitre a t'majon In bas comm in haut! Et Cha pou toudis Et fort longmint
Rdessauvages©28/10/2006 | |
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| Sujet: Re: DESSAUVAGES ROBERT (rdessauv) | |
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| | | | DESSAUVAGES ROBERT (rdessauv) | |
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